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Les massifs sont dessinés au fur et à mesure, de part et d'autre des grands arbres, d'abord quelques bulbes de narcisses sous les pêchers sauvages, puis deux hellébores roses. Un massif "gîte et couvert" s'est imposé pour accueillir au mieux toute la faune déjà résidente, auxiliaire du jardinier : des cabarets des oiseaux pour y voir festoyer les chardonnerets, des verveines de buenos aires pour les papillons, des asters et des soleils pour les abeilles...de toutes sortes.

Le massif d'inspiration asiatique touche la mare, l'esthétique orientale accompagne une flore de rive plus indigène où les grenouilles, tritons et libellules semblent se plaire.

Les plantes tinctoriales (pastel ou anthemis) cotoîent les plantes médicinales (échinacées pourpres, hélichryse ou mélisse).

La roseraie est l'idée d'une promenade sous une arche parfumée, mêlant romantisme et nature sauvage, profusion et discrétion.

Gislaine de Féligonde et Mme Alfred Carrière dominent les népétas, les bulbes et les achillées. Pierre de Ronsard charme à ses pieds une aubriette ou une lavande, Paul Neyron et l'inconnu tutoient les lupins...

Les soins prodigués aux rosiers sont des mélanges de purins de plantes, un apport de compost et une diversité végétale pour compagnie.

Le jardin médiéval est une parcelle d'histoire dans le jardin. Formant une croix, 4 carrés bordurés de buis permettant de contenir le foisonnement intérieur, sont implantés à l'ombre du tilleul et a côté d'un bain d'oiseaux en pierre.

On y retrouve des "simples" : plantes médicinales des campagnes pour les maux quotidiens ou les soins cosmétiques et des racines et herbes comestibles aux goûts "anciens".

 

Les buis ont malheureusement subis une attaque dévastatrice de la pyrale du buis  !

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